« Olivier Schrauwen [emmène] sa BD vers des sphères magiques et métaphysiques. (...) Malgré un premier abord aride, L’Homme qui se laissait pousser la barbe est un livre remarquable. » bodoi.info

« Schrauwen sait marquer les esprit avec des représentations fortes, et des suites de vignettes captivantes qui viennent titiller l’esprit. (...) De loin l’un des livres les plus originaux de l’année... » parutions.com

« L’Homme qui se laissait pousser la barbe (...) a de nombreux atouts non négligeables, dont celui d’aborder le thème du handicap de façon très personnelle. » DBD

« Graphiquement impeccable, tout en étant délurée et joliment folle, [cette bande dessinée] regroupe plusieurs histoires courtes, d’une délicatesse absolue, parfois sans parole, mais le plus souvent avec un sens de l’humour froid et surréaliste. » glamourparis.com

« Schrauwen travaille les ambiances rétro sans que ne s’y immisce la nostalgie. Au contraire, il se joue d’imageries inquiétantes bien que d’apparence désuète, qu’elles soient coloniales ou positivistes forcenées. (...) Le texte laisse la part belle à une très grande recherche plastique... » Politis

« Un univers tout à fait singulier, et fascinant à bien des égards. » toutelaculture.com

« Au fil d’historiettes chargées de citations,Olivier Schrauwen s’amuse, parfois se lamente, mais interroge obstinément les relations entre esthétiques et Weltanschauung (soit la conception du monde propre à chaque individu ou à chaque civilisation). » Les Inrockuptibles

« Si la bande dessinée avait un rayon surréaliste, on ne doute pas que L’Homme qui se laissait pousser la barbe ferait figure de référence. » BDCAF’mag