« Si une sortie doit retenir votre attention ces temps-ci, c’est bien Castilla Drive d’Anthony Pastor, [qui] nous émerveille une fois encore par son style unique, dans un récit décalé et imprévisible. (...) Un sens aigu de la mise en scène cinématographique, avec des dialogues qui claquent, des cadrages et des plans au millimètre, de toute beauté. (...) Aucun doute, Pastor fait partie des tout grands. » planetebd.com

« Admirablement mis en scène, toujours juste dans l’écriture des dialogues et n’hésitant pas à laisser sa place à l’image comme élément narratif, Castilla Drive est un coup de cœur. Un must à posséder d’urgence ! » sceneario.com

« Dans le décor d’une Amérique peu rutilante et pleine de désillusions, Anthony Pastor livre avec ce quatrième opus un polar bien ficelé aux dialogues incisifs. » Libération

« Une intrigue à rebondissements absolument implacable, des dialogues solides, des personnages attachants, détestables ou intrigants, un graphisme d’une grande puissance ou encore une mise en couleurs parcimonieuse mais ô combien habile : ce livre est, à coup sûr, à avoir dans sa bibliothèque... » France Soir / dBD

« Bourré d’idées et de scènes marquantes, Castilla Drive est à la fois un policier finement écrit et qui tient en haleine jusqu’au bout, une histoire d’amour touchante entre des gens "normaux", un conte de Noël et une formidable bande dessinée. » parutions.com

« Les frères Coen chez Raymond Chandler. (...) Les codes du genre sont là et Anthony Pastor les assaisonne à l’humour et à l’ironie. » L’Express

« Petit bijou de lecture. » Trois Couleurs

« Croquant ces cabossés de la vie dans des atmosphères désabusées et cinématographiques, ce roman noir presque sans coup de feu se dévore d’une traite. Et reste en mémoire, même quand l’écran s’est éteint. » lesoir.be

« Ouvrage après ouvrage, Anthony Pastor élabore un univers singulier, étrange, haut en couleurs et fascinant. (...) Du grand art ! » bdselection.com

« Un polar à l’ancienne, sans fioritures mais non sans grâce. » Page des libraires

« [Un] polar d’ambiance joliment mené, peuplé de loosers sympathiques. » Le Monde